Juillet 2021
Un être avisé me suggérait un jour de saisir le principe de solidarité cosmique. Ainsi le partage de l'êtreté, la communion de la vie n'appartenant à personne et finie chez personne, est louable. On nous parle, dans la morale des hommes, de partage. En fait c'est déjà un fait dans la nature de l'univers. Par ces suggestions, les hommes tentent inconsciemment de se conformer avec ce fait et de le vivre consciemment. C'est éminament sacré car en y réussissant peu ou prou, ils deviennent à l'image de la vie éternelle et du concept « dieu » qui, je le redis n'est pas une personne, mais l'êtreté unique partagée et « circulante » dans tout.
Un des êtres primordiaux émané du cosmos a dit ceci :
« Celui qui coopère dans les Cieux est le grand Vainqueur, autrement c’est
le grand perdant. »
Nous dit l'Ange Michel dans le document source du 26.2 au 4.7 2017 page 66. « Document Source » : les Ecrits de Clefsdufutur France, la philosophie de clefsdufutur, les Ecrits du Christ et ceux adoubés par Le Christ. Ce document Source là est accessible dans son intégralité ici : https://www.nouveaute-et-espoir.com/bibliotheque-hierarchique/documents-source-herarchique/
Il découle que nous devrions toujours sacrifier consciement notre finitude pour la multitude.
Le Christ, personnification d'un des principes primordiaux du cosmos, d'un des pouvoirs primordiaux, celui qui réuni tous les pouvoirs en vérité, a toujours mis l'accent sur ce principe de partage, de don de soi par le pouvoir de ce feu primordial perçu en l'homme comme énergie d'amour. Réhabilitant ce principe de partage par amour, Il réhabilite la loi de la vie elle-même. Loi qui contient toutes les lois universelles, c'est à dire inhérente à la nature à jamais existante. Mais en plus, Le Christ incarne parfaitement ce principe de sacrifice de sa finitude pour la multitude.
Quand je parle de multitude, il s'avère que celle-ci s'agrège toujours en sept groupes primordiaux témoins de l'unité de l'être. Sept qualités ou sept pouvoirs distincts coopérant et partageant la même êtreté. En tant qu'âme, nous sommes dépositaire d'une de ces qualités, en tant qu'Esprit ou Monade, nous sommes les sept en un, activement coopérant et présent dans les autres. Les septs qualités laissant place à la « sur-qualité » d'ubiquité et d'omniprésence dans les autres tout en restant soi. La Monade, notre Esprit est ce qui en nous est capable de capter la Vie et l'êtreté diffuse et palpitante tel un coeur répendu dans le cosmos.
Des symboles de cette omniprésence et inclusivité de la vie qui porte tout en elle et pourvoie toutes les formes en substance et énergie, en « pouvoir » de vie, ont été donnés. La dimension de l'Esprit est parfois appelé « plan Monadique », là où l'homme devient sept en un et un en sept. Un symbole de cette dimension est le signe de la Vierge. Son pouvoir ou énergie effective est celui de l'amour-sagesse, perçue comme amour dans le coeur de l'homme. Quel meilleur symbole d'inclusivité que celui, englobant, de la Vierge symbolisant la vertue maternante et englobante, et nourricière ? Exactement comme une mère sacrifie de sa personne, de sa finitude pour la vie de ses enfants. Ou comme les paroles de cette parcelle du Christ que fut Paul de Tarse : « Je me suis fait tout à tous pour en sauver, de toute manière, au moins quelques uns » (accessible dans la Bible).
La dilution de soi dans le service et la dilution de soi dans l'Esprit est même chose. Par le pouvoir effectif de l'amour-sagesse s'épenchant du chakra du coeur. Là où gît non pas le Christ, mais l'Esprit du Christ qui est notre Esprit, Son Esprit, Ton Esprit, Mon Esprit. Le principe « Christ » ou dit aussi « Vishnou »(1), Présent éternellement depuis l'aube des temps jusqu'à la fin. Substratum de toute conscience dans le cosmos. Pure abstraction métaphysique dans l'absolu mais personnifée et accessible pour nous sur Terre par Le Christ : porte d'accès au coeur divin.
Ainsi, sacrifier sa finitude pour la multitude pourrait être compris basiquement comme aller au devant de l'autre. Mais c'est une erreur car il n'y a pas d'autre – dans l'Esprit – je veux dire, aidant le prétendu « autre » on aide soi, le Soi répendu dans tous les sois ou êtres ou « autres ». Ce n'est pas une prétention philosophique mais une réalité de fait. De fait, les injonctions du Christ de ne pas faire à son prochain ce que l'on ne voudrait pas que l'on nous fasse, ou de nous aimer les uns les autres, sont un rappel à respecter la loi innée de la Vie et de l'Être unique.
Le Christ à Sa Représentante SL. - 27.11.2014
Texte accessible dans sa totalité ici : https://clefsdufutur-france-afrique.
webnode.fr/news/messages-du-26-soir-et-27-11-2014/